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il y a 7 ans
Baise-moi devant mon mari encagé
Je m’appelle Élisa D. J’ai quarante deux ans. Je suis conseillère principale d’éducation. Je suis mariée depuis une vingtaine d’année à Sylvain D. Nous n’avons pas d’e n f a n t . Ça fait disons…. environ six ans que je domine mon mari. C’était lui qui avait eu l’idée pour essayer. Maintenant la domination féminine incarne notre couple. Je contrôle totalement la sexualité de mon mari, c’est moi qui décide quand il peut me faire l’amour, quand il peut se masturber, quand il peut éjaculer, en échange de quoi il doit me trouver des amants vigoureux pour le plaisir qu’il est incapable de me donner. J’aime l’humilier pendant que je couche avec d’autres hommes devant lui, imaginer toutes les émotions contradictoires qu’il ressent au moment fatidique où je jouis sur un autre alors que son petit pénis est enfermé dans sa cage de chasteté me fait mouiller abondamment. Plus le temps passe plus ma domination envers lui s’approfondit. Aujourd’hui mon mari m’est totalement soumis et moi qui avant était une femme coincée j’assume entièrement ma féminité maintenant. J’ai beaucoup d’anecdotes à vous raconter sur notre vie sexuelle, enfin, la mienne surtout, vu que pour lui pénétrer un vagin est une chose qui se fait très rare ! Certaines ont des listes de courses à faire dans la semaine, moi j’ai ma liste d’amants. Bon, tirons un prénom au sort : Jérôme ! Nous commencerons par lui.
Bon, avant de parler de Jérôme, je vais vous dire comment nous entrons en contact avec les amants, plus précisément comment mon mari entre en contact avec les hommes très nombreux qui veulent me baiser. Tout ce passe sur internet. Sur un site d’annonce mon mari écrit qu’il recherche un homme très bien monté pour satisfaire son épouse, photos de tête et de pénis exigées ! À l’annonce il ajoute ma photo. Sur la photo mes seins imposants, mes fesses denses, ma taille moyenne, mes longs cheveux blonds, suffissent à susciter l’attention des centaines si ce n’est des milliers d’hommes. Parmi toutes les photos qu’il reçoit il fait son choix. Il sait que j’aime les hommes avec un beau corps et particulièrement bien membré. Ensuite il rencontre ces hommes pour voir ou non si le feeling passe. Enfin, si le feeling passe bien, je rencontre ces hommes soit à l’hôtel, soit chez nous, soit chez eux. Un jour j’aimerais me faire prendre dans la nature par un de mes amants. Peut-être que ce jour arrivera bientôt.
Revenons à Jérôme. La première fois que j’ai rencontré Jérôme je l’ai rencontré à l’hôtel. Nous avons couché durant des heures devant mon mari. Il m’a bien fait jouir. J’ai dit à mon mari que je voulais le rencontrer une deuxième fois, mais cette fois chez nous. J’ai préparé mon cocu de mari pour ma longue nuit de baise avec Jérôme. Sylvain s’est assis totalement nu sur une serviette à mêle le tapis. Avec un peu de difficulté parce qu’il n’arrêtait pas de bander je lui ai installé sa cage de chasteté. Ce serait la deuxième fois que je ferais l’amour avec Jérôme, un homme blanc de trente ans aux courts cheveux bruns. Mon mari me l’avait choisi pour sa grosse bite sur la photo qu’il nous avait envoyé en répondre à notre annonce internet.
Vers vingt heures environs, Jérôme est arrivé. On s’est installé au salon. On a peu parlé. Très vite on a commencé à ce toucher. Je me souviens de tout comme si c’était hier. Nous sommes assis sur le fauteuil long du salon. Je me rapproche de lui. Je colle ma bouche contre sa bouche, nous nous embrassons comme deux a d o l e s c e n t s alors que je suis beaucoup plus vieille que lui. « Qu’est-ce qu’on fait ? » me demande Jérôme entre deux bisous. Le temps de reprendre mon souffle je lui réponds « on baise ! » puis ma bouche bâillonne à nouveau sa bouche. Je monte sur lui. Je l’embrasse dans le cou. Il semble aimer ça. À travers le tissu du jean ses mains caressent mon cul puis mes seins habillés. Sur le fauteuil en face de nous mon regard croise celui de mon cocu qui nous contemple avidement.
Le fauteuil devient exigu pour nous. Nous rejoignons notre chambre conjugale. Nous nous déshabillons : Jérôme se met complètement nu, moi, je ne garde pour uniques vêtements qu’un body fleuri et qu’un string noir en ficelle. Jérôme s’allonge sur le lit. Je m’agenouille à ses pieds. Je prends dans ma bouche son pénis alors qu’il tient entre ses mains ma tête. Je le branle et le fellationne en même temps. Sa bite grossie à vu d’œil. Son gland occupe de plus en plus d’espace dans ma bouche. Soudain il tient un peu plus fort ma tête entre ses mains puis v i o l e ma bouche comme un vagin ! J’aime fellationner mes amants dans notre lit conjugal où mon mari n’a plus le droit de me toucher.
-Cocu !
-Oui Maitresse.
-Enlève-moi mon string !
-Oui Maitresse !
Mon cocu de mari nous rejoint sur le lit. De ses deux mains velues il me retire mon string.
-Je veux que tu le mette sur ta tête !
-Oui Maitresse.
Il met mon string sur sa tête. Ça lui fait comme une cagoule. Son nez respire la devanture de mon string. J’adore l’humilier de cette façon pendant que je lui fais cocu ! Je m’assois sur la bite en érection de Jérôme. Je la sens qui s’enfonce dans ma chatte. Je chevauche un instant mon amant puis il me renverse sur le matelas ensuite il monte sur moi. J’écarte les cuisses, suspends mes jambes en l’air pendant qu’il me laboure devant mon mari incapable de le faire qui nous regarde baiser bien sagement dans sa cage de chasteté. La longue bite de mon amant frotte dans mon canal vaginal pendant que ses testicules s’écrasent contre mes fesses rondes. Le tout mêlé à mes soupirs émet un bruit lubrique qui résonne dans toute la chambre. Dans un cri Jérôme éjacule dans ma chatte.
Avec Jérôme cette nuit-là on a baisé trois fois. Il a éjaculé trois fois en moi puis il est parti parce qu’il devait faire quelque chose. J’aurais préféré qu’il me baise toute la nuit mais bon. Bref, après son départ, Sylvain m’a rejoint sur le lit. Il a enlevé mon string qu’il portait sur la tête et qui lui couvrait une partie du visage. Je voyais dans ses yeux qu’il voulait que je le libère. Six mois sans éjaculer ça pèse lourd dans les couilles d’un homme. J’ai attrapé sa cage de chasteté qui enfermait sa queue, j’ai rapproché la clé du cadenas, lentement, en prenant tout mon temps, j’ai à plusieurs reprises fait semblant d’ouvrir sa prison. Lorsque j’ai ouvert sa cage de chasteté sa queue bandait à l’intérieur. Je me suis couchée sur le lit, j’ai écarté les jambes, mon cocu a commencé à se branler en regardant tout le foutre que mon amant avait laissé dans ma chatte.
-Ça suffit ! T’arrête de te branler !
-Oui Maitresse !
-Tu vas nettoyer avec ta bouche tout le sperme de Jérôme !
-Oui Maitresse.
J’ai ouvert les cuisses puis la bouche de mon cocu est venue se poser sur ma vulve. De sa langue il a nettoyé mon vagin en le débarrassant du sperme de mon amant. Il m’a offert un cunnilingus merveilleux. Au moment de l’orgasme de mes deux mains j’ai serré sa tête qui me léchait puis j’ai rempli sa bouche avec ma cyprine.
Baise-moi devant mon mari ! 2
Deux panneaux publicitaires lumineux accrochés devant et derrière le bâtiment faisait la publicité du club de remise en forme. La salle de sport où travaillait Romain T se situait au centre ville où elle abritait dans un immeuble moyen de trois étages le complexe sportif comprenant une salle de gym des plus classiques, une salle de massage, une salle d’aquagym. Romain y travaillait depuis deux ans comme coach sportif. Il aidait les clients à choisir parmi tous les appareils de sport meublant la salle les plus adaptés à leurs profils sportifs, à leurs objectifs physiques, il établissait des programmes individuels, encadrait souvent des cours collectifs. Le regard de Romain se posa sur la grande horloge qui affichait à ce moment-là dix heures trente minutes. Trois personnes s’activaient dans la salle : un couple de personnes âgées sur deux tapis de course et une femme d’une quarantaine d’année sur le vélo elliptique. Romain se dirigea vers la porte. Au passage il sourit à Linda, une femme d’une vingtaine année chargée de l’accueil et du téléphone.
-Je m’en vais !
-T’as rendez-vous avec une conquête ?
-Non je vais à un rendez-vous disons… administratif.
-C’est ça ! Fous toi bien de ma gueule.
-T’es jalouse ?
-Les black ne sont pas mon style.
-Moi non plus !
On se trouvait au début du mois de Juin. Malgré l’heure matinale soleil et chaleur se partageaient les rues. Romain marcha durant une trentaine de seconde dans le parking puis il atteignit sa voiture, une citadine des plus répandues dans la laquelle il s’installa, laquelle il démarra. Une demi-douzaine de minute plus tard il la gara sur le parking d’un établissement.
L’interphone du portail aussi défraichi que la peinture blanche de la barrière qui l’encadrait grésilla sèchement.
-Oui !
-Bonjour !
-Bonjour !
-Je viens parce qu’on m’a convoqué pour onze heures…
-Oui !
-… Je suis le grand frère de Florian T…
-Oui !
-… Je dois parler avec sa CPE.
-Passez par l’accueil avant de monter !
Un bruit électrique retentit. Romain poussa le portail qui s’ouvrit. Il se dirigea vers l’accueil. Une dame ronde l’accueillit assise au bureau. « On dirait un bulldog ! » pensa Romain. Elle lui tendit un grand cahier ainsi qu’un stylo en lui ordonnant : « marquez votre nom ! La date et l’heure de votre arrivé ! Puis signez ! » Romain se saisit du stylo et du cahier. Il vit qu’il était déjà recouvert par les écritures des autres personnes qui étaient entrées avant lui dans l’établissement les jours précédents. Il marqua son nom, la date et l’heure de son arrivé, puis il signa. Romain déposa le cahier et le stylo sur le bureau de la grosse dame qui le regarda d’une mine satisfaite.
« Le bureau de la C.P.E est par là… » à travers la porte de l’accueil d’un geste de la main elle lui indiquait les escaliers montants « …dès que vous arriverez en haut, tournez à droite, c’est le bureau juste en face ».
-Merci Madame !
-De rien Monsieur.
Plus Romain montait les escaliers plus il se souvenait de manière à la fois vivace et flou l’époque où il vivait dans le corps d’un collégien. Maigre alors, sans muscles, corps complexant, avec le temps il jugeait qu’il avait gagné en confiance en soi, qu’il s’était amélioré, mais que l’époque actuelle avait en quelque sorte suivi le trajet contraire, les gens s’étaient abâtardissés à la fois physiquement et moralement, qu’en quelque sorte la chute du monde malgré sa volonté propre d’y SURVIVRE avait aussi entrainé la sienne mais dans un degré qui lui restait inconnu. Ainsi quelque chose menaçait le collège où fréquentait son petit frère. À son époque collégiale la crainte était que les bandes hostiles s’affrontent devant le collège, aujourd’hui on craignait un attentat terroriste dans le collège, trop d’écarts en si peu d’années ! Il ne savait pas si les précautions de sécurité venaient de l’état d’urgence qui avait cours en ce moment là dans tout le pays ou d’une menace locale.
On y inscrivait ses e n f a n t s par défaut ; les quartiers que le politique correct désignent par quartiers sensibles entouraient ce collège ; il squattait les zones d’éducation prioritaire.
Soudain Romain s’aperçut selon des critères subjectifs qu’il s’était mal vêtu pour l’occasion : il portait un jogging noir un peu moulant, des baskets blanches, et surtout, l’élément de sa soudaine discorde, un débardeur noir qui laissait voir les muscles saignants de ses bras, les veines visibles de son corps au taux de graisse ridicule, ses pectoraux gonflés, son ventre très plat, tout cela, lui semblait-il, était inapproprié pour la circonstance de sa visite et pour le lieu surtout. La veille, chez lui, il s’était dit que le lendemain matin à la salle de gym il troquerait sa tenue de travail pour une plus présentable, mais au moment de se rendre au collège tout cela lui était complètement sorti de la tête, ses habits de rechange étaient restés aux vestiaires.
-Bonjour !
-Bonjour !
Sur le banc du couloir près de la quarantenaire qu’il venait de saluer Romain s’assit. Il pensa qu’elle passera surement avant lui. Il voulait en être certain.
-Excusez-moi.
-Oui ?
-Vous avez rendez-vous à quel heure ?
-À onze heures.
-J’espère que se ne sera pas trop long.
-Moi aussi.
On les avait donné rendez-vous à la même heure, un classique des cabinets médicaux qu’on utilisait maintenant en milieu scolaire. Une dizaine de minute plus tard le bureau de la C.P.E s’ouvrit. Un homme en sortit qui souriait. Ce fut au tour de la dame. Romain attendit une quinzaine de minutes puis arriva son tour de disparaitre derrière la porte.
-Bonjour !
-Bonjour !
« Je vous ai convoqué par rapport à Florian. Il se comporte mal, je crois que vous êtes au courant. C’est pratiquement la fin de l’année scolaire…. » Romain écoutait avec très peu d’intérêt les paroles de la C.P.E. Il s’eff o r ç a i t de la regarder dans les yeux. Mais de temps en temps son regard glissait sur la poitrine de son interlocutrice. C’était une dame qui paraissait âgée d’une quarantaine d’année, elle portait des cheveux blondis, son visage possédait des traits réguliers ; c’était une femme arborant une alliance de mariage, pour une raison obscur, pour romain, cette alliance de mariage la rendait encore plus bandante ; c’était une femme avec qui il aurait aimé coucher. « …vous devez faire tout votre possible pour qu’il change de comportement. Je vous parle pour l’année prochaine, si Florian continue à ce comporter comme il a fait cette année, nous allons l’exclure ! Comme moyen de pression, j’ai réfléchi, on pourra utiliser le football. Il aime jouer au foot et veut devenir footballeur professionnel. On peut s’appuyer dessus. Quand son comportement aura été mauvais durant la semaine, le week-end il ne jouera pas. On s’en servira dès le début de l’année prochaine. Je suis convaincue que son comportement sera meilleur. Mais pour cela vous devez être avec nous ».
-Je suis avec vous !
-Moi aussi je suis avec vous !
Ils échangèrent un éclat de rire.
-Vous allez faire du sport après ?
-Oui.
Cette fois ils échangèrent des sourires. « Je suis coach sportif. Si un jour vous voulez faire du sport je peux vous accueillir gratuitement durant une semaine dans la salle où je travaille ». Il sortit de sa sacoche une carte de visite qu’il tendit à la C.P.E.
-Merci c’est gentil !
-Bon… il va falloir que…
-Oui…
Ils se leva le premier. Elle l’imita. Ils se serrèrent la main.
-Au revoir !
-Au revoir !
-Passez une bonne journée.
-Vous aussi.
Elle l’accompagna jusqu’à la porte. Lorsqu’il disparut derrière l’angle du couloir, elle regarda la carte de visite, une carte noire sur laquelle était photographié un immeuble blanc de trois étages, marqué en jaune olive le nom de la salle de sport, l’adresse, et le numéro de téléphone. Elle rangea la carte dans son sac à main gris. Quelque chose d’inédit venait d’entrer dans sa vie.
L’eau chuta du ciel puis s’écoula en traits raides sur les corps des deux époux complètement nus. Il y’avait assez de place dans la cabine de la douche pour deux, assez d’espace dans la cage de chasteté de Sylvain pour que l’eau y pénètre, même si au fils des paroles de son épouse qui le maintenait chaste, l’espace se faisait de plus en plus rare dans sa cage-bite à cause de son érection grandissante. « C’est un grand black. Un beau black. Il est tout en muscles. Il a une grosse bite ! Je sais qu’il a une grosse bite parce que j’ai aperçu la grosseur de sa bite sous son jogging moulant. Dès qu’on finira de diner on ira dans une chambre d’hôtel. Il enfoncera sa grosse bite noire dans ma chatte blanche. Rien qu’en y pensant ça me fait mouiller. Lèche-moi ! » Sylvain s’agenouilla sous l’averse ininterrompue. Ses genoux s’appuyaient sur le carrelage dure et humide. Il déposa la tête au milieu des cuisses de sa femme puis entreprit de lécher sa vulve, de sucer son clitoris, d’explorer par la langue le canal vaginal étroit. Des dix doigts aux manucures rouges elle le saisit aux cheveux puis serra la tête lécheuse contre son vagin pour amplifier le plaisir oral qu’il lui offrait. Sylvain s’appliqua encore plus dans le but de la faire jouir. Il portait un amour inconditionnel à Élisa. Il faut beaucoup d’amour pour partager sa femme avec d’autres hommes mieux membrés que soi. Lorsqu’elle jouit sous les caresses de sa langue et de ses lèvres, la cyprine et l’eau remplirent sa bouche.
Sylvain s’était relevé. Il appliquait du shampoing sur les cheveux blondis d’Élisa. Déjà, une épaisse mousse au parfum agréable englobait la chevelure de son épouse. Il savonna tout le corps féminin avec du gel douche puis il le frotta entièrement à l’aide d’un gant ensuite il le rinça enfin il s’occupa de son propre corps. Avec une serviette blanche il essuya sa femme puis ils rejoignirent leur chambre conjugale. Élisa se laissa tomber sur le lit. « Masse-moi ! J’ai besoin d’être en forme pour mon rendez-vous avec Romain ». Elle se trouvait allongée sur le ventre. Complètement nu comme elle il s’assit sur le postérieur rond de son épouse puis débuta le massage. Ses doigts parcoururent l’arrière du cou, les épaules, le dos, les fesses charnues d’Élisa qu’ils se mirent à malaxer. Elle se retourna. Il massa ses épaules, ses bras, ses gros seins, son ventre, ses cuisses. Il la fit jouir avec les doigts la cage-bite près de l’explosion.
Sylvain avait fini de vêtir Élisa. Le couple s’était assis sur le tapis de leur chambre. Sylvain ne portait pour unique vêtement que sa cage de chasteté. Élisa décrocha la clé qui ouvrait la cage-bite de son mari, cette derrière était accrochée au collier de son cou qui la faisait pendre au milieu de ses gros seins. Des doigts à la manucure rouge elle saisit la cage de chasteté qu’elle ouvrit. Le pénis de Sylvain se retrouva libre mais entièrement marqué par les empreintes que la pression de la cage portée durant des mois avait forgé sur sa verge quasi en érection. En masturbant son pénis et son gland d’une main aguicheuse elle lui demanda : « tu veux me baiser ? » Il souffla un oui d’excitation. Mais elle répondit « non ! Il n’ya que les hommes bien montés qui ont le droit de me toucher ! Ta petite bite ne mérite que la cage ». Sylvain serra fortement ses paupières closes, s’eff o r ç a nt de retenir l’éjaculation non autorisée qui pouvait faire en sorte qu’Élisa prolonge sa chasteté d’un mois supplémentaire.
-S’il te plait tu peux arrêter ?
-T’as peur de cracher ?
-Oui.
-Tu sais ce qui t’attend si tu éjacules sans mon ordre ?
-Oui. C’est pour cela que je voudrais que t’arrêtes sinon…
Élisa rigola. Elle arrêta de le masturber.
-Débande ! Je te remets ta cage.
Elle sortit de la chambre. Elle revint quelque instant plus tard avec un sachet de glace qu’elle appliqua sur sa verge. Le froid arracha des frissons à Sylvain qui sentit son pénis ramollir. Elle enferma de nouveau sa verge dans la cage de chasteté, puis elle sortit rejoindre son amant.
Sylvain dormit très peu cette nuit là. Il la passa à bander encagé sur le matelas marital. L’image mental de sa femme couchant avec son nouveau amant noir dans un hôtel pendant qu’il subissait des érections chastes sur le lit conjugal le rendait fou d’excitation ! Elle était allée rejoindre un homme plus viril que lui et n’avait laissé derrière elle que les effluves de son parfum chimique qui lui rappelait à chaque nouvelle inspiration qu’il était cocu.
Le lendemain matin Sylvain après avoir acheté des croissants se rendit dans la chambre d’hôtel où l’attendait Élisa. Quand il entra dans la chambre il la trouva totalement nue. Ils échangèrent un baiser.
-Comment ça été ?
-Merveilleux ! Tu m’as apportée à manger ?
-Oui j’ai pensé que t’aurais besoin de reprendre des f o r c e .
-Merci c’est gentil !
-Fais voir ta cage. Tu ne l’as pas ouverte au moins ?
-Non. Je ne l’ai pas ouverte.
Il baissa son froc puis son boxer pour prouver à son épouse qu’il avait été sage.
« C’est bien ! » dit-elle l’air soulagée lorsqu’elle aperçut la cage de chasteté fixée sur sa verge. « Sa bite était tellement longue et grosse ! On a baisé toute la nuit. Il m’a baisée comme un sauvage ! » Élisa saisit dans une main la cage-bite et s’aperçut qu’elle serrait très fortement la verge en érection.
-Elle est vraiment serrée. T’es très excité on dirait.
-Oui. J’ai envie de… Tu peux me libérer s’il te plait ?
-Lèche-moi d’abord !
Elle s’allongea sur le lit puis elle ouvrit les cuisses. Il la rejoignit avec pour une unique habit sa cage de chasteté. Il déposa sa bouche sur le vagin de sa femme pendant qu’elle parlait mi-murmure mi-confession : « il a rempli ma chatte avec son sperme. Il a éjaculé une dizaine de fois en moi… Sa bite était tellement grosse… J’ai joui comme une salope… lèche ma chatte !… » Elle déposa une main sur ses courts cheveux bruns qu’elle caressa dans un mouvement de va et bien comme pour l’encourager à la lèche. « J’ai avalé deux fois son sperme… il a joui une fois sur mes seins… Viens m’embrasser ! » Sylvain abandonna l’entrecuisse d’Élisa pour ses lèvres. Il embrassait la bouche dans laquelle un autre homme avait éjaculé quelque heure auparavant.
Elle décrocha la clé sur son collier puis ouvrit la cage de chasteté. Elle masturba la verge qui banda aussitôt. « Pénètre moi ! Je veux ta bite dans ma chatte ! Je veux que tu ressentes la différence, comment sa grosse bite noire a élargi ma chatte, la chatte de ta femme… » Sylvain monta sur son épouse qu’il laboura. Pendant que son braquemart explorait le canal vaginal de sa femme elle continuait de lui causer de son amant. « il m’a traitée comme une pute et j’ai aimé ça… il m’a d’abord embrassée, puis il a enfoncé deux doigts dans ma chatte, ensuite il a introduit sa grosse bite noire dans mon vagin… » Sylvain éjacula bruyamment. En une fraction de seconde il venait de se délivrer de six mois d’abstinence sexuelle.
Hujambo Korodani
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